Comme la vie de chaque être humain.
Une photographie est une histoire unique sans antécédent. Parfois le miracle se produit, des enfants dans une rue de Ghardaïa, ville principale du M’Zab, une oasis, porte du désert, ont joué une scène pour moi, comme ils l’avaient fait pour Robert Doisneau, cinquante ans plus tôt dans un quartier populaire de Paris.
L’image de Doisneau est extraite du livre, les doigts pleins d’encre. Images de Doisneau texte de François Cavana.
Robert et François, qui selon leurs propres mots, «sont des anciens élèves de l’Université des terrains vagues. Derniers de la classe premiers dans la rue».
Mon image provient d’un reportage en Algérie, en février 2004.